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| Sujet: Elizabeth Laurelyn Chase [termine] Sam 24 Déc - 20:57 | |
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| ▬ first of all ;;
Nom ;; Chase Prénom(s) ;; Elizabeth Laurelyn Surnom(s) ;; Plus communément, Elza pour les intimes. Groupe ;; Esprit Frappeur Date et lieu de naissance ;; Oxford, 10 décembre 1841. Âge ;; 22 ans à sa mort Nationalité ;; Anglaise Origine ;; Hongro-Anglaise Orientation sexuelle ;; Bisexuelle Liens familiaux ;; Aucun Lieu à hanter ;; Elle hante le manoir bien entendu et quand ça lui plait contre les attentes de ses supérieurs, n’importe où en dehors des cuisines
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▬ life and death ;;
Elizabeth était une jeune femme d'apparence respectable. Sans plus, elle n'attirait que des coeurs brisés. ~
Que dire sur notre jeune demoiselle ? Que c'est une femme ayant la chance d'être très bien équilibré et en parfaite santé. D'ailleurs comme on peut le remarquer, elle est mince -à cause des nombreux corsages comme il se doit d'être la tradition- a de jolies courbes et de taille moyenne pour son âge, bien qu'un peu plus petite, mais Elza vous dira qu'elle est de taille moyenne. C'est que sans avoir reçu un entraînement bien particulier ou suivre un «sport pour nobles» comme elle le disait , l'anglaise garde une bonne condition physique... Hormis cela Laurelyn a reçu, et avec grand enthousiasme, du physique de sa mère. Quelques fois ses interlocuteurs pensent à tord qu'elle est étrangère à cause de son allure paysanne européenne. Sa peau était blanche voir un peu basanée très douce et lisse. Venant à parler de ses yeux, ils sont légèrement en amande.Son regard est peut-être trop souvent sans expression, c'est bel et bien vrai... Dans un sens, elle toise les gens avec peu d'expression, la plupart du temps ses paupières sont baissées ou bien son regard est pour le plus souvent vide quand elle réfléchit. Quand elle se met à révasser, il n'est pas étonnant de voir des étoiles dans son regard émeraude. En même temps et c'est sa principale caractéristique, son regard... Les traits de son visage sont très fins et précis, mais cela dépends de son interlocuteur. Ha oui parlons maintenant de ses cheveux, ceux-ci ne sont ni roux, ni brun clair : un mélange harmonieux des deux nuances qui brillaient de mille feux sous les rayons du soleil. Assez long pour qu'ils frôlent ses hanches. La jeune fille ne les arrange que pour les grandes occasions qui se sont fait rares. Depuis son enfance, elle aime les fleurs et Elza se les accrochent dans sa chevelure. Et pour finir, ses lèvres sont petites, fines, légèrement bombés.
Il y a des choses qu’on ne comprend qu’en la dépouillant de son armure. ~
La prévenante Miss Chase :
Quand, elle est douce, elle semble être la parfaite grande sœur que tous auraient voulu. Gentille, souriante et peut-être même très enfant par moments. Pourtant, Laurelyn est très consciencieuse, elle ne peut supporter de voir des inégalités sociales, ni même voir les gens inquiets ou maussades. Ça lui rappelle un moment de sa vie, et pour ne pas souffrir ou plutôt les alléger de leurs démons, l’anglaise s’insémine dans la vie d’autrui amicalement, tout doucement. Se voulant réconfortante, elle use de sa patience et de sa tolérance envers autrui. Eliza peut paraitre un brin timide, silencieuse et adroite Jamais, elle ne rabaissera les autres, ce n’est pas saint. Quand, la demoiselle a confiance en quelqu’un, elle le défendrait même jusqu’à son dernier litre de sang et si parfois, elle doute, elle fera tout pour découvrir la vérité. En réalité, elle se veut à l’écoute des autres pour oublier sa propre misère.
L’indifférence :
Ici c’est totalement le contraire de son habituelle tendance amicale. Serviable à prime abord, rien ne laisse supposer que sous ce masque, Elza ne s’intéresse guère aux attentions qu’elle reçoit. Ni même semble vouloir se mêler avec les autres, rester seule dans son monde, dans ses pensées plus qu’inhumaines. Si on l’aborde, elle restera de glace plus aucun sentiments ressurgirent, jugeant avec qui elle a une discussion, y prenant que très peu part, se distançant avec une voix monotone. Plus rien ne la motive et tout la fait sombrer dans une lente dépression.
La Bagarreuse ou plutôt combattive :
Sous tous ses masques celui-là pourrait être le plus vrai de tous. Même si elle reçoit des coups, ou en renvoit les coups envers les autres. Elle s’en moque, pas hautainement comme le ferait certaines filles, mais d’une façon qui veut dire qu’il ne faut pas la surestimer. La vue des blessures, des robes en lambeaux, elle les connait depuis son enfance, si c’est la seule voie possible pour vivre, elle l’utilisera encore et encore. La plupart du temps, c’est si on la pique, ou si on maudit quelqu’un qu’elle aime profondément. Il y a aussi des moments, où elle ne peut rester indifférence à sa haine et que Laurelyn explose même si on lui apprend qu’une lady ne doit pas se battre, elle n’en fera qu’à sa tête. Et puis, c’est étonnant de voir en elle une femme prête à piétiner à coups de bottes un individu, de plus ça ne lui arrive pas tous les jours au moins. Si y a une autre chose à savoir, c’est qu’Eliza ne peut s’avouer réellement vaincu que lorsque plus rien ne peut la sortir de son bourbier, elle est un être dotée d’une extrême franchise dans des situations pénibles.
Son Histoire :
Elizabeth est née un dix décembre 1841. C'était lors d'une nuit froide dans la maison familiale des Chase. Tout pensait qu'il y aurait des complications importantes lors de son accouchement, déjà parce qu'elle était là un mois trop tôt, mais aussi parce qu'il n'y avait aucun moyen hospitalier. Il y avait alors que le médecin du village pour aider à mettre bas l'enfant. Après un long moment de travail, le bébé sorti enfin et bien que petit, il poussa ses premiers cris, c'est à ce moment-là que notre petite Chase vit pour la première fois de sa longue vie. Ses deux parents, Ellyena et Philiph étaient aux anges mais, également le médecin qui était fier de lui et heureux que malgré la prématurité, l'enfant se portait bien. Malgré les conseils, sa mère et son père refusèrent tout deux de se rendre à l'hôpital, ils voulaient que leur enfant reste à la maison et non le voir à l'hôpital. C'était leurs choix, on ne pouvait pas aller dans le sens contraire de celui-ci, l'enfant fut donc gardé à la maison.
Les années passées et notre petite fille grandissait accumulant les bêtises. Ses parents bien que surpris, ne l'aimaient pas moins pour autant, en même temps comment pourraient-ils haïr leur propre enfant. Ce n'était même pas imaginable. Alors que sa vie était constituée que de bonheur, aucun problème à l'horizon, cajolée, aimée, avoir tout ce qu'elle voulait, en bref, traiter comme une reine, il n'avait rien pour être malheureuse. Pourtant. il semblait qu'Elza n'aimait pas sa situation familiale. Eh oui... Elle se sentait beaucoup plus proche du petit peuple que les invitations par milliers au bal de comtesse x. La simplicité de la vie, l'avait toujours plu, mais cette vie finirait par la ronger à l'intérieur d'elle-même. L'enfant, s'inventa alors des histoires, des masques pour se distraire, Eliza ne se sentait jamais réellement elle, ni femme quand elle devait faire présence dans des soirées mondaines. Quelques disputes éclataient, ici et là durant son enfance, on jugeait à fur et à mesure ses caprices comme un moyen d'attirer l'attention, ce qui était bien évidemment pas le cas. Comme bon nombre de jeunes filles, elle tomba elle aussi amoureuse. Évidement, il fallait que son ami de coeur soit de classe bourgeoise, mais il avait délaissé ses titres pour devenir musicien. Son père s'y opposa fermement, sa mère l'approuvait mais devait soutenir son papa. Eliza entretenait la relation, y mettait tout son amour, mais finalement se rendit compte qu'elle n'était qu'une victime parmi tant d'autres, elle rompit et passa une année de sa vie à s'enfermer dans ses appartements. Ce fut alors qu'à ses 21 ans, son père la fiança à un... comte, non un duc prénommé Oliver Roy. Bien évidemment, il avait fallu que son gentleman reçoive une invitation de la part des Northwoods, famille très prisée par son apparence et gentillesse et l'invita à la célébration. Chose qu'une dame ne pouvait effectivement ne pas refuser, et puis c'était son fiancé à présent, elle ne pouvait guère le décevoir.
La mort :
22 ans, 1863, les cuisines :
Une fumée qui piquait la gorge, les yeux, des gens qui courraient partout, les enfants, les mères, les oncles ventripotents, tout le monde s'enfuyait du mieux qu'ils pouvaient dans des cris affolés. Elizabeth avait été entraînée dans la foule malgré sa résolution de les laisser à leurs sorts.... Le temps de trouver une éventuelle sortie bien évidemment. C'est pour cela qu'elle s'était glissé dans ce qui lui avait sembler une cuisine. Des plats restaient partiellement complétés, mais ce n'était pas cela qui l'intéressait. Si seulement, elle pouvait briser ce n'est qu'une fenêtre, aider certains à sortir malgré le dégoût que lui inspirait l'aristocratie. Et la fumée, l'étouffait peu à peu, ses pas se firent moins précis, sa hanche heurta un bout de comptoir, sous la douleur, elle se pliait en deux, respira avec misère. Les fenêtres... pourquoi les avaient-on planqués de bois ? Il lui avait semblé qu'elles étaient vitrées pas... ainsi. Finalement, sa poitrine lui faisait de plus en plus mal, sa vue se décolora et elle tomba finalement à terre.
Lentement, elle ouvrit ses paupières et les clignota. Faisait-il nuit ou jour ? La demoiselle ne le savait guère, il faisait aussi sombre qu'une nuit sans étoile et puis il y avait cette odeur. Sans plus. Une senteur indéfinissable, de bois trempé et autre chose qu'elle ne déchiffrait pas. Comment avait-elle pu être là ? Affolée, ses mains touchèrent non passèrent à travers... ce qui semblait être une cloison ?! C'était quoi ce délire... Elle avait du ingurgiter une substance hallucinogène. Elle se sentait étrange, flottante, légère. Quelque chose la poussait toujours vers le haut, vers ce noir. Une ascension longue et puis on la fit culbuter, se retourner. Comment… La voilà, ouf... elle dormait à point fermé. Des racines dans les cheveux et un sentiment inavoué, de rage se manifestait en elle. Non... elle se pinça, elle devait rêver.
*Ce n'est qu'un mauvais rêve*
Eliza ne ressenti qu'une mince douleur. Elle se repinça à nouveau, encore et encore, puis comme si on comprenait sa détresse, on l'aspirait de toutes ses forces, on la poussait toujours vers le haut. Finalement, le ciel apparu, puis elle tomba tomba, la chute fut aussi longue que l'ascension pour Elizabeth et atterrit dans l'herbe ou ce qui semblait l’être. Un ciel menaçant, le bruissement des arbres, le murmure du vent, il n’y avait pas de doute pour la demoiselle, une tempête devait déferler sous peu. Des lamentations, des cris si plaintifs à en émouvoir résonnèrent peu à peu aux alentours. Eliza tourna la tête, des silhouettes plus ou moins richement vêtus sillonnaient, quelques-unes se cramponnaient à d’autres, cherchant les êtres chers à ses côtés, elle soupira très lentement, il faisait froid, une crampe se manifesta à ses tempes, ses doigts massèrent la douleur et puis Eliza se releva avec peine. Elle se sentait désorientée, comme si elle avait pris trop de champagne mais ce n’était pas le cas. Puis, elle la vit. Une pierre, une simple pierre, son prénom.
Elizabeth. On l’appelait, la secouait par les épaules, la serrait à la taille. Ses yeux fixaient avec effroi, sa résidence. On murmurait son prénom… Toujours sur la même intonation, intonation amoureuse, heureuse ? Non, ça n’avait plus d’importance. Elle ferma les yeux, expira, inspira l’air froid, la caresse du froid, l’odeur de la mort. Elle était déjà morte, quelque chose s’était brisé en elle. C'était tout simplement cela. Elle ne sentirait plus les vagues à ses pieds, ni le soleil dorer sa peau, ni le rire des oiseaux, les couvertures soyeuses. PLus rien ne serait comme avant. Elle resterait avec sa robe miteuse, sa robe de princesse, la robe qu'elle détestait au milieu des fleurs, des saisons. Ça lui était égal, elle resterait comme le temps, inflexible. Elizabeth se jura de rester fidèle à ce qu’elle était… malgré sa mort, malgré qu’elle devait vivre sans ceux qui lui tenaient chaud au cœur. Dans cette résidence qui n’était pas la sienne… Les pages restaient vierges pour un moment.
▬ some informations ;; Elle avait plusieurs passe-temps, certains plus calmes que d'autres. Il y avait des jours, où Laurelyn pouvait gambader des heures entières dans les champs, regarder le ciel, compter les pétales d'une fleur et ne revenir que très tard le soir. Simplement sentir le soleil, les oiseaux, le picotement de l'herbe, tresser des couronnes de fleur lui plaisait et lui plait encore. Autant qu'elle aimait la nature, observer son entourage, la lecture la passionnait également, Elza pouvait passer des heures entières, plongée dans ces récits sans s'aperçevoir ce qui se passait dans les chambres voisines.
▬ behind the screen ;; | Âge ;; 19 ans Avatar ;; Hongrie (Hungary) Axis Power Hetalia (Aph) Comment avez-vous connu le forum ;; Par ma sœur. Vos premières impressions ;; Sublime. Remarques ou suggestions ;; Non pas pour le moment, mais je veux dire que j’utilise l’ordinateur de ma sœur jumelle qui incarne Millie Winterland et que nous sommes maintenant au Canada. Crédits images ;; Zerochan, modifié par mes soins. Une chose importante à dire ? ;; /Superbe~/
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Dernière édition par Elizabeth L. Chase le Mer 4 Jan - 15:52, édité 10 fois |
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