Eliott Lawliett Crowfield

F I R S T † O F † A L L

P r é n o m ( s ) : Eliott Lawliett
S u r n o m ( s ) : Eli', Liott
S e x e : Masculin
D a t e † d e † n a i s s a n c e : 21 Juin
A g e † à † s a † m o r t : 12 ans
O r i e n t a t i o n † s e x u e l l e : Hétéro
E s p r i t † f r a p p e u r

S O M E † I N F O R M A T I O N S

L I F E † A N D † D E A T H

J’adore Joshua, mon ami d’enfance, et puis, ensuite, Rosa et Faith. Et je suis un adorateur des chats. Ne sont-ils pas tout bonnement magnifiques ? Si doux, si soyeux, si souples, et si gentils, si câlins ? Et solitaires, mais bon, c’est ce qui fait leur charme, non ? Joshua, lui, dit que non. Il dit que ce sont des boules de poils égoïstes, radins, et qui, par-dessus le marché, te griffent dès qu’ils en ont l’occasion ! Des fois, je me demande si ses gouts sont fiables… aimer des loups ! Beurk ! Moi, je ne les supportes pas ! Ils puent le chien mouillé et ont le poil rugueux ! Ils grognent de manière peu esthétique et mordent, vous transmettant toutes sortes de maladies et bactéries ! En plus, pour couronner le tout, ils vivent en meute, agglutinés les uns aux autres, pas très hygiénique… Non, décidément, je ne peux pas les sentir ! Et il va de même pour les chiens. Les renards, ça va. Les ours, on n’en n’a jamais vu chez nous alors… J’aimerais bien avoir un lion, un tigre ou un léopard de compagnie. J’ai entendu dire que des riches le faisaient, mais vu comment on m’a regardé quand j’en ai demandé pour mon anniversaire… j’ai abandonné cette idée. Sinon, pour ce qui est de mes gouts gustatifs, je suis assez large, mais j’ai une préférence pour les fruits comme les fraises ou les framboises, ou encore les cerises. Mais ne me parlez pas de citron ! J’ai horreur de ce que est acide ! Les fraises, framboises et cerises, c’est doux. Pour les couleurs, je le clame haut et fort : « VIVE LE ROUGE » !!! Rouge mystérieux, rouge sang, rouge guerre, rouge colère, rouge courage, rouge pouvoir… il y en a pour tout les gouts ! Par contre, j’évite les tons trop bleus… c’est pour ça que j n’aime pas la mer. L’eau en général. Et mes yeux. Mes maudits yeux bleus.

Je suis joyeux, et c’est généralement contagieux. J’aime rire et faire rire, ce qui m’a bâti une réputation de comique de service, bien qu’il n’en soit rien. Je suis aussi le roi de la gaffe. Plus maladroit tu meurs, je casse tout ce que je touche. Mais à la longue, j’ai trouvé ça marrant et c’est devenu un amusement et maintenant je le fais exprès. Avec Joshua, nous formons un duo imbuvable pour les adultes. Et nous en sommes fiers ! On me dit égoïste, avare et orgueilleux. Mais vous n’aurez qu’à vous faire un avis par vous-même. Moi, personnellement, je me qualifie plutôt de quelqu’un qui ne se repose pas tout le temps sur les autres comme certains, qui fait attention à ses dépenses et qui s’aime bien, rien de plus. Après tout, s’aimer soi-même n’est-il pas indispensable pour être bien dans sa peau ? Et être bien dans sa peau n’est-il pas indispensable pour bien vivre ? Ah ça oui, je suis bien dans ma peau ! Pas de problèmes ! Ce que les autres pensent, rien à fiche ! C’est leur vie, ça va pas détruire la mienne. Comme si une remarque désobligeante allait faire s’effondrer le monde, franchement… et dire qu’il y en a qui le pensent vraiment ! Pauvres d’eux… Pour en revenir à moi, je suis aussi gourmand, oui. Disons que je ne suis jamais calé. J’ai toujours une petite place pour un plat en plus. Généralement, dans ces Cas-Là, Joshua me dévisage avec des yeux difficilement plus grands et plus ronds et me lâche un : « Mais tu le met où tout ça ?! ». Je suis aussi complètement « dévergondé », parfois… Les Ravenshill ? Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? A vrai dire, je ne leur tiens pas rigueur de nous avoir tués. Ils me font pitié, voilà tout. Mais la pitié n’a pas sa place dans ce monde ni dans mon cœur, je la déteste, alors je les détestes. Et pas uniquement pour ça. Pas par ce qu’ils ont mis le feu. Par ce que je veux éliminer toute sorte de pitié, et aussi, par ce qu’ils ont pris la joie de Joshua. Et la joie, c’est la vie. Comme je l’ai dit plus haut, ma joie de vivre est contagieuse. Sauf sur Joshua. Plus avec Joshua. Et je ne peux pas le supporter.

Celle d’un jeune garçon de douze ans, plutôt grand et mince, ce qui effare encore plus Joshua (pour la quantité astronomique de nourriture que j’ingurgite). Pas une once de graisse ! J’ai les cheveux courts, lisses et blonds, bien coiffés (obligé !). Mais j’ai les yeux bleus. Et je vous l’ai déjà dit, j’ai le bleu en horreur. Il fut une lointaine époque de mon enfance où je voulais les crever. Mais comme on m’a fait un vrai scandale en me surprenant sur le point d’essayer, (ce qui est normal, remarque) j’ai renoncé. J’ai ensuite songé à mettre des lentilles, récemment, mais impossible avec Faith sur le dos. Pour elle, c’était inconcevable. Elle aime mes yeux comme ils sont, qu’elle dit. Mais pas moi, c’est justement ça le problème. Finalement, j’ai capitulé, prétextant qu’en fait, c’était un bleu très clair et qu’on pouvait croire que c’était du gris, pour sauver l’honneur. Je ne pourrais supporter de perdre la face contre elle. Je suis aussi très pâle. Manque de soleil, diagnostic des domestique. Pourtant j’y passe mes journées, sous le soleil, à dormir. Enfin, quand je ne suis pas en train de faire des conneries… J’ai aussi un espèce de tatouage, sur la langue. Les connaisseurs reconnaîtront une marque du Diable, mais chut, hein ? C’était juste un « t’es cap t’es pas cap », d’accord ? Niveau vestimentaire, je n’ai pas changé depuis mon vivant. Je revêt un short noir, des jambières noires elles aussi, et des hauts divers et variés plus ou moins dans des tons rougeâtres. Pour « sortir » (ou plutôt me balader) je met un manteau rouge. Un fantôme n’a pas froid, mais c’est pour la forme. Certains m’ont déjà confondus avec une file, je vois pas pourquoi…

Je suis né à Nottingham. Mon père était un marquis, là-bas. Ma mère était une très belle femme (je tiens d’elle), fille du Comte de Portsmouth. L’alliance parfaite, comme le disaient les langues de bois. J’étais traité comme n’importe quel enfant, jusqu’au jour où, à mes cinq ans, on m’enleva alors que je jouais dehors, pour demander une rançon. J’ai été séquestré pendant six mois. Six mois de maltraitance, de malnutrition, de mauvaise hygiène… Finalement, quand j’ai été libéré –en échange d’une somme astronomique – mes parents avaient eu tellement peur pour moi et aussi peur que cela ce reproduise, qu’ils ont été d’une présence et d’une prudence excessive, envers moi. Ils craignaient un potentiel futur, mais ne se souciaient déjà plus du passé. Ils n’avaient même pas cherché à savoir si j’allais mieux, mentalement, je parle. Peut-être croyaient-ils que les enfants, à mon âge, ça ne comprend rien, de toute façon, comme tout les adultes –je pense que c’est de là que me vient mon dégout des adultes. Mais un enfant comprend toujours. Et, oui, j’avais été traumatisé. Une séquelle apparent m’est restée. Cela ne ce voit pas, vous dites ? Vous êtes aveugles ou quoi ? Tout le temps. Je souris tout le temps. Voilà ma séquelle. Durant mon enlèvement, n’étant préparé ni physiquement, ni psychologiquement (normal, à mon âge !), j’ai dû apprendre à dédramatiser les choses. Et à sourire à tout. Au bonheur, et au malheur. Tous prendre avec ce sourire. Eh oui. Ma joie excessive et le séquelle que j’ai de cet enlèvement. Mais bon, le temps a poursuivi son cour, malgré tout, et à mes huit ans, on m’a emmené chez les Nightroad, des cousins éloignés et très bons amis. J’ai fait la rencontre de Joshua (de son deuxième nom Selim). Je l’ai trouvé amusant, et on est devenus excellents amis. J’ai ensuite passé beaucoup de temps avec lui. Notre dernière nuit, nous avions tous deux été invités par des amis de la famille, les Northwoods. Nous avons fait la rencontre de Faith (de son deuxième nom Sharon) et de Rosa (de son deuxième nom Charlotte), toutes deux des Northwoods. Et puis, le moment fatidique. Le feu qui grimpe à la tapisserie. Ce sentiment d’être impuissant. Ces souvenirs sont encore nets dans ma mémoire, comme si cela ne faisait que quelques instants. Tout comme celui du chat. Ce chat qui, avant que l’incendie ne ce déclare, avait gratté à la porte pour sortir et une fois qu’on l’eut ouverte, il s’était tourné vers nous, comme pour nous demander de le suivre, et n’avait pas bougé. On l’avait alors mis dehors. Traitement injuste. Car moi, je le sais, j’en suis sûr, il avait senti ce qui allait se passer, et avait voulu nous sauver. Après cet incident, ma « vie » (ou plutôt ma mort) ne fut guère bien différente : je continuais à jouer toute la journée avec Joshua. Comme la mort était futile. Et c’est ce qu’elle était, d’ailleurs, futile.

W E † A L L † N E E D

Smile not only said ~~Joy~~

I N † F R O N T † O F † A † C O M P U T E R

/Le Destin dit que c'est correct !/

Bienvenue Eliott ( j'ai pas encore trouver de surnom mais ça va venir XD)

En espérant que tu t'amuses parmi nous ! ^O^

Merci

Vous en faites pas je sens en effet que je vais bien m'amuser hé hé Eliott Lawliett Crowfield 745560

C'est bon Eli, tu es validé !
Amuse-toi bien !

Tu peux à présent rp, créer ta fiche de relations et en demander aux autres.

Par contre, petite question pour ton rang...
Je ne connais pas le sens de la phrase que tu as écrit, mais pour moi "Smile not only said Joy", ça ne veut rien dire...
Ce n'est pas plutôt "say" ?
Enfin, peut-être y a-t-il un sens particulier que je ne comprend pas...

euuh, tu dois certainement avoir raison, c'est que la leçon sur le prétérit je sais plus quoi m'a traumatisé, alors l'anglais...

merci

On va s'en charger alors~
Au passage, mon Cher, ta signature est un peu grande, tu sauras t'en occuper ? Merciiii~♥

Ok je vais essayer

Un esprit frappeur, hm? (je sais pas pourquoi mais je sens que je vais avoir la vie dûre...)

Hun hun tu croiiiiis? *_*